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Rentrée décalée des formations Bachelors

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L’orientation que vous avez choisie en début d’année ne vous convient pas et vous ne souhaitez pas perdre une année ?

L’IESA arts&culture ouvre une rentrée décalée en février pour vous permettre d’intégrer la première année des Bachelors de l’école, en métiers de la culture et en marché de l'art.

rentrée décalée bachelors métiers de la culture et marché de l'art

Formations Bachelors qui proposent une rentrée décalée en janvier/février 2017 à Paris

Marché de l’art

Métiers de la culture

 

L’orientation que vous avez choisie en début d’année ne vous convient pas et vous ne souhaitez pas perdre une année, l’IESA arts&culture ouvre une rentrée décalée le pour vous permettre d’intégrer la 1ère année de Bachelors de l’école.

Vous poursuivrez votre formation de première année durant un mois à temps plein pour rattraper les principaux cours du premier semestre que vous n’aurez pas suivis. Cette formation accélérée est rendue possible par les connaissances déjà acquises au cours de votre semestre d’étude et par l’effectif de votre classe qui vous donnera l’occasion d’apprendre dans un rapport privilégié avec vos professeurs. 

En mars, vous débuterez un stage à mi-temps dans une structure artistique ou culturelle. Ce premier stage vous permettra de vérifier votre choix professionnel et de commencer à tisser un réseau relationnel indispensable à la suite de vos études et à votre entrée dans le secteur de votre choix. 

Au mois de mai, vous intègrerez le second semestre du Bachelor 1ère année.

N’hésitez donc pas à choisir la rentrée décalée que nous vous proposons. Elle vous permettra d’entrer immédiatement dans la dynamique de l’IESA arts&culture.


Samedi 9 décembre - Journée Portes Ouvertes

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Parce que la rentrée prochaine, c’est maintenant que ça se prépare l’IESA arts&culture vous ouvre ses portes de 10h à 17h pour une journée découverte !

Lors de cette journée, vous pourrez découvrir notre campus de l'innovation culturelle avec sa galerie, l’amphithéâtre, l'incubateur et 4 niveaux de salles de cours et d'espaces de travail.

journée portes ouvertes iesa arts&culture

De 10h à 17h, venez découvrir l’école et son dynamisme ! À travers un parcours didactique, nous vous proposons d'échanger avec des professeurs, des étudiants, les équipes de l'IESA arts&culture et de rencontrer les équipes du service pédagogie et admission.

Programme à venir

Toute la journée, une salle sera consacrée aux projets de groupe et individuels réalisés par nos étudiants avec des vidéos et les dossiers des projets à consulter. Une autre salle sera consacrée aux stages et aux partenariats en marché de l’artspectacle vivantcinémamédiation et patrimoine, vous pourrez avoir un aperçu des quelques 600 structures qui accueillent régulièrement nos étudiants. Des différents partenariats noués avec de grandes institutions et entreprises. Vous pourrez également voir des vidéos et consulter les rapports de stage de nos étudiants. Les équipes de la professionnalisation, de la pédagogie et les étudiants vous guideront afin de vous permettre de mieux comprendre la réalité professionnelle de notre pédagogie.

Des responsables de stage et de pédagogie, des professeurs, des coachs de projet vous accueilleront avec des étudiants et des anciens de tous les niveaux et de toutes les formations.

Si vous souhaitez candidater dans les formations de BachelorsMastèresMastères professionnels ou MBA, nos responsables des admissions seront là, vous pourrez donc passer un entretien d’admission et le test afin de valider votre candidature.

Nous vous attendons pour vous faire entrer, dès ce samedi, dans la dynamique de l’école !

Expertise de gemmologie par Pauline Duval, étudiante Marché de l'art

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Pauline Duval, étudiante en Mastère professionnel Marché de l'artà l’IESA arts&culture, a présenté une expertise de gemmologie, dans le cadre du Salon du Figaro dédié aux métiers de la création et situé au Carreau du Temple à Paris le 25 novembre dernier.

expertise gemmologie marché de l'art
expertise gemmologie marché de l'art
expertise gemmologie marché de l'art

Médiation culturelle Prix Marcel Duchamp

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Dans le cadre de leur cours à l’IESA arts&culture, elle les a coachés sur la médiation culturelle auprès des publics visitant l’exposition du Prix Marcel Duchamp. Cette exposition présente les œuvres des artistes sélectionnés pour l’un des prix les plus prestigieux de l’art contemporain.

Pour la 17ème édition du prix, cette année les artistes présentés étaient Maja Bajevic, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Charlotte Moth et Vittorio Santoro. L’exposition a lieu du 27 septembre 2017 au 8 janvier 2018, elle est située Galerie 4 – Niveau 1.

Tous les artistes ont produit des œuvres inédites à cette occasion, en poursuivant leurs recherches. Ils interrogent l’image, la poétique de l’archive, la généalogie cachée de l’objet comme des mots. Le lundi 16 octobre 2017, un jury composé de sept personnalités : Bernard Blistène, Gilles Fuchs, Carmen Gimenez, Erika Hoffmann, Mao Jihong, Jérôme Sans et Akemi Shiraha a décerné le prix au duo d’artistes : Joana Hadjithomas et Khalil Joreige.

Les étudiants de en Bac+5 Art contemporain de l’IESA arts&culture ont assuré la médiation culturelle auprès des publics durant deux soirées les 15 et 22 décembre 2017 de 19h à 21h dans le cadre de cet échange mis en place grâce à ce partenariat avec l’une des plus importantes institutions dédiée à l’art contemporain dans le monde, le Centre Georges Pompidou, qui fête ses quarante ans cette année.

Parcoursup : candidatez dès maintenant !

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admission post bac iesa arts&culture

Les admissions post-bac ont débuté !

Pour la rentrée de septembre 2018, la plateforme d'admission en études supérieures dédiée aux lycéens, Admission Post-Bac (APB), laisse sa place à Parcoursup.

Vos professeurs vous en ont sans doute parlé, cette année la procédure d'admission pour vos études supérieures est modifiée avec le portail Parcoursup (anciennement APB : Admission Post-Bac).

Pour autant, il faut savoir que bien des écoles d'excellence ne sont pas accessibles via ce nouveau portail d'admission. De nombreuses écoles spécialisées proposent d'effectuer une candidature en parallèle de la procédure Parcoursup. L’IESA arts&culture en fait partie. En effet, pour vous inscrire dans une de nos formations, il est nécessaire de télécharger notre dossier de candidature.

L’IESA arts&culture vous invite à vous renseigner auprès de ses équipes pédagogiques pour découvrir ses différentes formations dans le marché de l'art et les métiers de la culture et définir votre projet d’orientation.

Les étapes de Parcoursup

  • 15 janvier : ouverture de la plateforme d'admission avec des tutoriels pour comprendre son fonctionnement
  • du 22 janvier au 13 mars : inscription et création de votre dossier d'admission, consultation des caractéristiques de chaque formation, saisie de 10 voeux maximum sans classement
  • jusqu'au 31 mars : finalisation de votre dossier et confirmation de vos voeux
  • du 22 mai au 21 septembre : premiers résultats des établissements d'enseignement supérieur et réponse de votre part
  • à partir du 26 juin : phase complémentaire pour les lycéens sans proposition d'admission
  • 21 septembre : fin de la procédure Parcoursup

> En savoir plus sur Parcoursup

Nos formations post-bac hors Parcoursup

L'IESA arts&culture dispense plusieurs formations en 3 ans après le Bac dans les domaines du marché de l’art, de la production culturelle, de la communication et du marketing et de la médiation socioculturelle : 

Formation post-bac Productions culturelles

Devenir chef de projet dans le spectacle vivant, le cinéma ou encore le montage d’exposition ? Découverte du secteur culturel, gestion de projets culturels, réalisation d’un projet grandeur réelle sont les 3 axes de cette formation post-bac en 3 ans.

Formation post-bac Communication culturelle

Une formation post-bac en 3 ans pour les médiateurs culturels, chargés de communication ou encore responsables marketing de demain ! Politique d’action culturelle, recherche de sponsoring, réseaux sociaux,…  les clés pour mieux communiquer dans le secteur culturel.

Formation post-bac Marché de l’art

Pour une insertion rapide dans les métiers du marché de l’art, trois ans de formation post-bac sur l’expertise et le commerce des œuvres d’art comprenant des stages obligatoires tout au long de l’année, en France ou à l’étranger.

Formation post-bac Médiation socioculturelle

Les médiateurs socio-culturels peuvent travailler aussi bien pour des institutions culturelles que pour des villes ou des associations caritatives. Ils assurent le lien entre les publics et les œuvres, les reliant aux grandes questions sociales, économiques et humaines. Ils apportent à chacun la capacité de dialoguer avec les œuvres pour mieux les comprendre et mieux se comprendre

Anticipez votre poursuite d’études !

 

Partenariat avec Camera Lucida Productions

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Dans le cadre de notre partenariat avec Camera Lucida Productions, nos étudiants ont pu participer aux tests de scénarios interactifs du programme documentaire "Replay Memories" lancé par cette société de production. Une expérience innovante au niveau créatif, artistique et sensoriel !

partenariat camera lucida productions iesa arts&culture

En intégrant ses nouveaux locaux du 1 Cité Griset en septembre, l’IESA arts&culture a souhaité en faire le Campus de l’innovation culturelle pour permettre à ses étudiants de vivre leur formation au contact des entreprises qui font évoluer les pratiques et les contenus culturels. La filière Cinéma et audiovisuel de l’école a dans ce cadre noué un partenariat avec la société de production de programmes audiovisuels Camera Lucida, l’une des plus réputées et dynamiques en France.

La série "Replay Memories" revient sur dix événements de notre mémoire collective confrontant les souvenirs des témoins ayant vécu l’événement et les analyses d’experts, historiens, sociologues, neurologues, qui décryptent les raisons de l’évolution de notre mémoire. Il s’agit de la première série de documentaire historique utilisant la réalité virtuelle. Un programme qui a vocation à être exploité à l'échelle internationale, dans les prochains mois de 2018.

Les scénarios testés par nos étudiants se déroulaient à New York, au moment des attentats du World Trade Center, le 11 septembre 2001. Coiffés de casques de simulation immersive, ils ont navigué à l'intérieur de l'univers proposé et ont été invités à retrouver le souvenir d’un moment historique et à le confronter à la mémoire du web en s’y immergeant. Puis ils ont fait part de leurs réactions à l'équipe de réalisation afin qu’elle puisse s’en servir pour peaufiner la version finale.

L’expérience en réalité virtuelle a plongé nos étudiants, issus des différentes filières de formation de l’IESA arts&culture, dans un espace quadridimensionnel où se trouvent toutes les mémoires du monde. Ils ont arpenté un véritable espace, un hyper cube que l’on peut toucher et manipuler et au sein duquel ils ont pu se déplacer. C’est en quelque sorte l’appréhension de la quatrième dimension à travers l’espace-temps qui construit notre mémoire. 

Un bel exemple de découverte des innovations numériques dans le secteur de l’audiovisuel mais également une belle rencontre entre étudiants et professionnels !

 

Exposition Attaches : année France-Colombie

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Dans le cadre de l’année France–Colombie 2017, l’IESA arts&culture, école internationale des métiers de la culture et du marché de l'art associée à la Cité Internationale des arts et avec le soutien de l’Institut Français présente Attaches, une exposition sur la jeune scène artistique colombienne de Paris.

Exposition Attaches : année France-Colombie

Les étudiants de 2ème année Mastère Art contemporain et Mastère Patrimoine et tourisme culturel de l’IESA ont travaillé durant une année à la mise en œuvre d’Attaches, sous la direction de la commissaire d’exposition Claire Luna. Ils se sont confrontés à la réalité de la production d’une manifestation culturelle en l’abordant sous tous les angles : commissariat d’exposition, scénographie, communication, mécénat.

À l’origine du projet, Grecia Caceres, auteure péruvienne à la tête du département d’Amérique Latine de l’IESA arts&culture, témoigne de sa volonté de directrice d’allier pédagogie, découverte du monde et un projet à taille réelle.

Présentée du 7 décembre 2017 au 13 janvier 2018, Attaches se déploie au sein de la Cité internationale des arts en occupant sa Galerie, son Corridor et l’Auditorium. Pluridisciplinaire, Attaches présente en plus des arts visuels, du cinéma, du design, de la musique et de l’illustration. De nombreux évènements accompagneront l’exposition : rencontres, débats, tables-rondes, performances, projection des courts et longs métrages.

Les 21 artistes présentés sont tous nés dans les années 80, colombiens résidents à Paris. Attaches s’appuie sur leurs expériences communes à savoir l’exil et la mélancolie inhérente à l’éloignement. Les œuvres montrées ici ont pour thème le fantasme du retour et le lien avec le pays renforcé par la distance. L’expatriation permet à ces artistes de prendre une certaine distance avec eux-mêmes, l’expérience de l’altérité leur fait s’observer comme si le «je» était un autre.

Les artistes : Alexandra Arango, Ivàn Argote, Marcos Avila Forero, Chloé Belloc, Karen Paulina Biswell, Hilda Caicedo, Violeta Cruz & Léo Lescop, Raphaël Faon & Andres Salgado, Lilli Garcia Gomez, Carlos Gomez Salamanca, Laura Huertas Millan, Ana Maria Lozano Rivera, Julia Maria Lopez Mesa, Guillermo Moncayo, Daniel Otero Torres, Camilo Restrepo, Felipe Ribon, Camila Salame, Juan Soto, Ana Tamayo.

Le scénographe et artiste Felipe Ribon réussit à montrer avec les étudiants les œuvres en un parcours qui met en évidence la nature et le déplacement. Abordée à la fois comme environnement et comme un élément symbolique touchant à l’universel, la nature est adorée, cultivée, disputée lorsqu’elle devient territoire, elle renvoie à l’histoire de la Colombie dans sa complexité.

Boris Grébille, directeur de l’IESA arts&culture commente : «Cette exposition est un projet riche de sens alliant particulièrement deux des grandes valeurs de l’école : le dialogue des cultures et la promotion de la jeune création ».

Un début d’année sous le signe de l’Afrique

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Le département Afrique du Centre de recherche appliquée en cultures contemporaines de l’IESA arts&culture contribue à la diffusion des cultures africaines au sein de l’école. Exposition, formation, journée thématique, l’Afrique est au cœur de ce début d’année ! 

Avec l’exposition « Traversées Photographiques Africaines» ou la célébration de la première Journée mondiale de la Culture africaine, l’IESA arts&culture a placé l’ouverture de l’année 2018 sous le signe de l’Afrique. Hafida Jemni Di Folco, responsable du département de l’IESA arts&culture, s’explique sur ce choix.

hafida jemni di folco département Afrique IESA arts&culture

Virginie Letac Fardel

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Virginie Letac Fardel est diplômée du Mastère professionnel Marché de l'art contemporain depuis 2015.

Après sa formation art contemporain à l'IESA arts&culture, elle a fondée et dirige sa société Artagema qui accompagne l’entrepreneuriat des organisations créatives et culturelles.

Pour le festival Ciné-Corps, dont l'IESA est partenaire, elle est en charge des partenariats privés.

Virginie Letac Fardel Mastère pro art contemporain

Que s’est-il passé après l’IESA arts&culture, pouvez-vous nous faire part de votre parcours ?

Tout juste diplômée du Mastère professionnel Marché de l’Art contemporain fin 2015, un heureux hasard me fait croiser Romain Sabah - ancien de l’IESA arts&culture - à l’exposition du Palais de Tokyo « Artistes à la Une pour la Liberté » dont il est co-curateur avec Nicolas Couturieux. A la tête de Nineteen Sixteen, une agence spécialisée en art urbain et street art, il est en quête d’un profil expérimenté pour structurer et déployer son activité auprès de riches particuliers et d’entreprises. Pendant près d’un an, investie aux côtés de Romain et son équipe, je travaille au développement commercial, à la conception et la réalisation de projets artistiques évènementiels, aux relations publiques et à la communication d’artistes comme Tania Mouraud, Thomas Canto, Tilt, C215 et d’autres de l’agence. Une expérience de marché doublée d’une plongée dans les pratiques artistiques urbaines, complémentaires de celles effectuées durant le Mastère art contemporain chez Véronique Smagghe, grande spécialiste du mouvement des Affichistes qui me touche particulièrement.

Début 2017, je lance mon activité au travers de la société ARTAGEMA avec l’idée d’accompagner l’entrepreneuriat des organisations créatives et culturelles ainsi que la structuration et le développement de créations artistiques implémentées par des technologies de pointe. Me contacte l’association Ecole D’art Au Village pour un projet socio-artistique numérique en lien avec le Château de Versailles et la New York public Library. S’enchaînent d’autres projets dans le cinéma, le multimédia et l’art digital.

Comment avez-vous intégré le Festival Ciné-Corps ?

Comme bien souvent dans le monde de la culture, c’est le jeu des rencontres et des affinités qui vous porte. Isabelle Logeais, mon ancien professeur de mécénat à l’IESA, me recommande à la réalisatrice de vidéo danse, Virginie Combet, fondatrice du Festival Ciné-Corps il y a six ans à Strasbourg, qui cherche une personne pour nouer des partenariats privés au soutien de la première édition parisienne du festival qui aura lieu du 31 janvier au 4 février au Cinéma Majestic Passy affilié au réseau des Ecrans de Paris. La collaboration se scelle.

En quoi consiste le partenariat entre le festival et l’IESA arts&culture ?

C’est à la fois un partenariat financier, de compétences et pédagogique, l’école mettant à disposition du Festival Ciné-Corps trois étudiants stagiaires issus de la branche cinéma.

Ce partenariat confirme l’engagement de l’IESA dans le champ de la création numérique et des arts après le lancement par l’école en 2017 de son incubateur de startups culturelles. En effet, l’IESA participera au jury du hackaton du Festival et octroiera à cette occasion un Prix de l’IESA sous forme d’un accompagnement au développement du projet.

Pouvez-vous nous préciser comment se déroulera le hackaton ?

Le hackaton Ciné-Corps 2018 est une première en France. Cet événement unique mêle expérimentation et co-création pour se faire rencontrer, la danse, l’audiovisuel et la création immersive.

Les équipes composées de trois participants encadrées par des professionnels seront invitées à partir d’un thème de départ à proposer un projet de réalité virtuelle plaçant le corps au cœur de l’immersion. Le jury, constitué de professionnels de la danse, du cinéma et de la création numérique invités par le festival se réunira pour élire le projet le plus réussi. Celui-ci sera présenté en public lors de la séance spéciale du festival Ciné-Corps le dimanche 4 février à 20h au Cinéma Majestic Passy. Il bénéficiera également d’une résidence de 15 jours au sein de commune Image, incubateur de projets de réalité virtuelle. L’un des projets bénéficiera du Prix de l’IESA qui est un accompagnement au développement du projet élu. Xavier de la Vega concepteur/producteur interactif au sein de Picseyes films et journaliste sur les nouveaux médias, coordonnera le hackaton les 3 et 4 février.

Yunmi Cho

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Yunmi Cho, ancienne étudiante coréenne en Bachelor Expertise et commerce de l'art.

Quelle formation avez-vous suivi à l’IESA et en quelle année ?

J’ai suivi une formation en Bachelor Marché de l’art de 2008 à 2011.

Que vous a-t-elle apportée, quels sont vos meilleurs souvenirs ?

Tout d’abord, j’ai acquis de l’expérience dans de nombreux domaines artistiques. Ensuite, les cours dispensés, les visites de musées, ainsi que les intervenants étaient très intéressants et ces trois années se sont révélées très enrichissantes. De plus, la rencontre avec la culture française a été facilitée, puisque les étudiants français m’ont aidé à m’intégrer, tout cela m’a permis de nouer des amitiés.

Yunmi Cho étudiante marché de l'art

Quels stages aviez-vous faits et en quoi vous ont-ils servis pour votre parcours professionnel ?

J’ai travaillé dans la galerie ITEM, Art et Société, j’y ai rencontré des artistes de différentes nationalités. Dans le cadre de ce stage, j’ai conseillé les gens sur les œuvres présentes dans la galerie.

Qu’avez-vous fait à la sortie de l’école ?

A la fin de mes études, je suis retourné en Corée du Sud. J’ai travaillé dans une galerie, où j’ai cherché des jeunes artistes à exposer afin de les aider à se faire connaitre. Cependant, la tâche n’a pas été facile car les jeunes artistes sont timides.
En effet, en Corée les jeunes ne sont pas intéressés par l’art à cause de notre mentalité. À la suite de cette expérience, j’ai arrêté la recherche des jeunes artistes pour me concentrer plutôt sur l’éducation. Ainsi, j’ai commencé à enseigner l’art aux jeunes enfants, notamment en histoire de l’art, ou encore les bons réflexes pour regarder les œuvres, et j’ai initié les jeunes à la peinture. 

Quel est votre métier aujourd’hui ?

Comme dit précédemment, j’ai ouvert un centre d’éducation à l’art pour les jeunes enfants. Maintenant, j’ouvre un studio d’art pour les adultes, et je dirige également une galerie, centrée sur le développement de l’éducation, la découverte de jeunes artistes, et la rédaction de plans d’exposition pour aider le public dans sa visite. 

Que diriez-vous à un étudiant qui voudrait s’inscrire à l’IESA par rapport à votre propre parcours ?

Cette école est une école où vous pouvez avoir beaucoup d’expériences artistiques. Vous pouvez cultiver le pouvoir de voir l’art, et aussi profondément étudier différents aspects de l’art, y compris l’histoire de l’art.

Grâce à l’IESA, j’ai pu intégrer l’Ecole supérieure de la culture et des arts de l’université d’Hongik, qui est la meilleure université dans ce domaine en Corée. De plus notre département a signé un accord avec l’université londonienne de Northumbrie, et j’aimerais que l’IESA puisse en faire de même.

 

Isabelle Logeais, directrice de l'IESA Incub'

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Isabelle Logeais, directrice de l'IESA Incub' de notre nouveau campus de l'innovation culturelle, présente son parcours professionnel, la création de l'incubateur au sein de l'école et les startup incubées depuis janvier 2018.

Isabelle est également intervenante en mécénat culturel auprès de nos étudiants en Mastère et Mastère professionnel depuis plus de six ans.

isabelle logeais iesa incub'

Présentation des startup

Haphazart

haphazart iesa incub'

Présentation de la startup

HAPHAZART, propose son soutien aux artistes émergents grâce a un processus de diffusion favorisant l’accès des Arts et de la Culture pour tous.  Il incarne l'association de trois services: une galerie d'art en ligne, une box au contenu artistique et culturelle (personnalisée en fonction de vos goûts, vos centres d’intérêts et de vos lieux de prédilections), ainsi qu'un shop en ligne de produits et accessoires réalisés par des artistes et créateurs permettant de développer un art à « portée de main ».

Comment avez-vous connu l’incubateur ?

Ancienne étudiante de l'IESA, j'ai effectué une formation professionnelle dans le Marché de l'art en 2014. Ayant reçue une invitation au mois d'octobre, j'ai participée à la soirée d'inauguration de L'IESA incub'. Mon projet étant en phase de construction, j'ai proposé ma candidature juste après.

Que vous apporte l’incubateur ?

Etant une structure complète , L'IESA incub'  propose un accompagnement sur 18 mois comprenant une formation complète dans le domaine de l'innovation et de l'entreprenariat. Par ailleurs, soutenue par des experts et mentors, cela me permet de structurer mon projet et de le réaliser de façon dynamique et concrète.

Quel est le rythme de travail avec l’IESA Incub ?

C'est riche et intense ! L'emploi du temps est vite très chargé entre les cours, les événements proposés: Museum connexions, SITEM...  et les conférences dédiés à l’innovation culturelle.

Made in culture

made in culture iesa incub'

Présentation de la startup

Notre startup est une plateforme permettant d'accéder de façon simple et ludique à l'offre culturelle.

Comment avez-vous connu l’incubateur ?

Nous avons connu l'incubateur par le biais de l'IESA où Maxence a effectué une formation Marché de l'art et Expertise. Nous avons contacté Boris Grebille, directeur de l’IESA arts&culture,  pour lui présenter notre projet, et il nous a invité à candidater pour intégrer l'incubateur.

Que vous apporte l’incubateur ?

L'IESA Incub' nous apporte une formation entrepreneuriale, ainsi qu'un réseau de qualité qui nous accompagne tout au long de l'incubation.

Quel est le rythme de travail avec l’IESA Incub' ?

La formation est très soutenue (cours du lundi au vendredi toute la journée) en plus du travail personnel destiné à notre projet.

Musée des nuages

musée des nuages iesa incub'

Présentation de la startup

Le musée des nuages est un musée sans mur, consacré à la sensibilité environnementale. Il explore un phénomène complexe et pourtant aussi évident que l'air que l'on respire : le ciel, l'atmosphère. Ce musée de notre temps est nomade et planétaire. Nous proposons une programmation artistique, que nous appuyons par l’édition d’objets et le partage de savoirs associant les sciences climatiques et les arts. Nous nous adressons aux territoires et aux entreprises pour valoriser les ressources locales, pour favoriser la responsabilité environnementale en associant leur patrimoine naturel et leur patrimoine artistique.

Comment avez-vous connu l’incubateur ?

Grâce à une publication d’Isabelle Logeais sur la création de son incubateur sur LinkedIn. 

Que vous apporte l’incubateur ?

Dès le premier mois, il m’a apporté une masse d’informations considérable. A peine le musée des nuages y a-t-il mis le pied, qu’il est monté en altitude, comme sur un tapis volant.

Quel est le rythme de travail avec l’IESA Incub' ?

Nous sommes en formation pendant les trois premiers mois et les contenus sont d’une richesse impressionnante. Nous sommes plongés au cœur de l’innovation et de la réflexion dans le secteur culturel. Il y a beaucoup de grain à moudre. Au bout du premier mois, les grandes lignes et les premiers pas d’une action complète et structurée se dessinent. Restent encore 17 mois…

Body - Juan Zhou

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Quel est votre rôle au sein de l’IESA arts&culture ?

En tant que responsable du département Asie, mon principal rôle est de développer et de diffuser des projets de recherches à travers l’organisation de conférences, la réalisation d’expositions, l’accueil d’artistes/experts pour des masterclass, et la mise en place de programmes avec les universités et les académies des beaux-arts partenaires.

Le département Asie soutient également les étudiants dans leurs projets ou stages qui sont liés avec la culture asiatique. De plus, nous avons monté un programme préparatoire, en partenariat avec les Cours de Civilisation Française de la Sorbonne, afin d’assurer une bonne préparation et intégration scolaire aux cursus pour les étudiants asiatiques.

Quel est l’enjeu de votre département ?

Le travail mis en place dans notre département aide, à la fois, à une alimentation des ressources de recherche, mais aussi à un développement du réseau professionnel. Les étudiants peuvent mieux se préparer à réaliser leur projet et à travailler dans un contexte de mondialisation. Le département Asie représente une dimension internationale qui attire de plus en plus l’attention de nos étudiants.

En étroite collaboration avec Grecia Caceres (responsable du département Amérique Latine) et Hafida Jemni Di Folco (responsable du département Afrique), le département Asie crée des passerelles entre les différentes cultures du monde.

Récemment vous avez organisé l’exposition « Une gestuelle sérielle : au-delà de l’encre » de Xingqian Ye. Qu’est-ce qui vous a motivé à exposer cet artiste ?

Xingqian Ye est un artiste chinois qui vit en France depuis plus de 30 ans. Cette double culture rend son travail original et contemporain mais sans coupure avec la tradition chinoise. L’exposition propose de confronter ses oeuvres au regard du Professeur Bernard Franco, spécialiste de littérature comparée à l’université de la Sorbonne.

Cela a fait suite au colloque monté avec l’École Nationale des Chartes, autour du sujet du voyage interculturel, dont l’artiste et Professeur Franco ont été invités.

Quels sont les principaux messages qui ressortent de cette exposition ?

Hormis le dialogue, l’exposition nous permet de découvrir une dimension d’art contemporain chinois, qui est peut-être ignoré. Comme le dit Boris Grebille, directeur de l’IESA arts&culture, « Trop souvent, on oppose l’art contemporain chinois à la peinture traditionnelle, le premier étant plus proche de la création et des paradigmes occidentaux, la seconde n’étant qu’une répétition d’un art ancestral. S’il est vrai que ce sont deux mondes souvent étanches, dont les marchés et la diffusion s’effectuent de manières parallèles, cette vision est largement réductrice et procède d’un système de classification facilitateur qui n’accorde pas à la créativité de certains peintres traditionnels actuels leur juste participation à une recherche contemporaine de la représentation et du questionnement de notre monde. »

Quelles sont les actualités à venir de votre département cette année ?

Suivant le séminaire dans la série « une histoire, une recherche », et la conférence sur la peinture chinoise traditionnelle, le département Asie soutient un projet d’étudiant de Bachelor Arts visuels et exposition, Yan Ding, qui a réussi à monter une exposition d'estampes à la Mairie du 13ème arrondissement, à l’occasion du nouvel an chinois.

Au mois de mars, nous allons prochainement accueillir un calligraphe à l’IESA arts&culture pour une conférence avec démonstration.

À partir du mois de mai, les projets vont se multiplier : un festival d’art urbain (projet d’un groupe de Mastère Spectacle vivant) aura lieu à Wuhan, ainsi que les grands colloques à Pékin et à Hangzhou, en partenariat avec l’université de la Sorbonne et les universités chinoises.

Juan Zhou, responsable du département Asie

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Entretien avec Juan Zhou, responsable du département Asie pour les Centres de Recherche Appliquée de l’IESA arts&culture.

Juan Zhou est chinoise, ce qui lui permet de comprendre au plus près les enjeux et les problématiques qui sont rattachés au département qu’elle supervise. Elle fait preuve depuis plusieurs années, d’un réel engagement pour ce département en mettant ses connaissances et son savoir-faire en œuvre pour favoriser l’aboutissement des missions que l’IESA lui confie.

Juan Zhou, responsable du département Asie

Quel est votre rôle au sein de l’IESA arts&culture ?

En tant que responsable du département Asie, mon principal rôle est de développer et de diffuser des projets de recherches à travers l’organisation de conférences, la réalisation d’expositions, l’accueil d’artistes/experts pour des masterclass, et la mise en place de programmes avec les universités et les académies des beaux-arts partenaires.

Le département Asie soutient également les étudiants dans leurs projets ou stages qui sont liés avec la culture asiatique. De plus, nous avons monté un programme préparatoire, en partenariat avec les Cours de Civilisation Française de la Sorbonne, afin d’assurer une bonne préparation et intégration scolaire aux cursus pour les étudiants asiatiques.

Quel est l’enjeu de votre département ?

Le travail mis en place dans notre département aide, à la fois, à une alimentation des ressources de recherche, mais aussi à un développement du réseau professionnel. Les étudiants peuvent mieux se préparer à réaliser leur projet et à travailler dans un contexte de mondialisation. Le département Asie représente une dimension internationale qui attire de plus en plus l’attention de nos étudiants.

En étroite collaboration avec Grecia Caceres (responsable du département Amérique Latine) et Hafida Jemni Di Folco (responsable du département Afrique), le département Asie crée des passerelles entre les différentes cultures du monde.

Récemment vous avez organisé l’exposition « Une gestuelle sérielle : au-delà de l’encre » de Xingqian Ye. Qu’est-ce qui vous a motivé à exposer cet artiste ?

Xingqian Ye est un artiste chinois qui vit en France depuis plus de 30 ans. Cette double culture rend son travail original et contemporain mais sans coupure avec la tradition chinoise. L’exposition propose de confronter ses oeuvres au regard du Professeur Bernard Franco, spécialiste de littérature comparée à l’université de la Sorbonne.

Cela a fait suite au colloque monté avec l’École Nationale des Chartes, autour du sujet du voyage interculturel, dont l’artiste et Professeur Franco ont été invités.

Quels sont les principaux messages qui ressortent de cette exposition ?

Hormis le dialogue, l’exposition nous permet de découvrir une dimension d’art contemporain chinois, qui est peut-être ignoré. Comme le dit Boris Grebille, directeur de l’IESA arts&culture, « Trop souvent, on oppose l’art contemporain chinois à la peinture traditionnelle, le premier étant plus proche de la création et des paradigmes occidentaux, la seconde n’étant qu’une répétition d’un art ancestral. S’il est vrai que ce sont deux mondes souvent étanches, dont les marchés et la diffusion s’effectuent de manières parallèles, cette vision est largement réductrice et procède d’un système de classification facilitateur qui n’accorde pas à la créativité de certains peintres traditionnels actuels leur juste participation à une recherche contemporaine de la représentation et du questionnement de notre monde. »

Quelles sont les actualités à venir de votre département cette année ?

Suivant le séminaire dans la série « une histoire, une recherche », et la conférence sur la peinture chinoise traditionnelle, le département Asie soutient un projet d’étudiant de Bachelor Arts visuels et exposition, Yan Ding, qui a réussi à monter une exposition d'estampes à la Mairie du 13ème arrondissement, à l’occasion du nouvel an chinois.

Au mois de mars, nous allons prochainement accueillir un calligraphe à l’IESA arts&culture pour une conférence avec démonstration.

À partir du mois de mai, les projets vont se multiplier : un festival d’art urbain (projet d’un groupe de Mastère Spectacle vivant) aura lieu à Wuhan, ainsi que les grands colloques à Pékin et à Hangzhou, en partenariat avec l’université de la Sorbonne et les universités chinoises.

Cycle de conférences : L'oeil pense, rencontres autour de l'art latino-américain

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L’Œil pense, rencontres autour de l’art latino-américain présenté par le département Amérique latine de l’IESA arts&culture en partenariat avec la Maison de l’Amérique Latine permet au grand public de s’ouvrir à l’art latino-américain. 

Ce cycle de conférence se déroule à l’Auditorium de la Maison de l’Amérique Latine. Grecia Cáceres, directrice du département Amérique latine parle d'un choix qui reflète la volonté de l'école de donner un cadre plus large au département et de valoriser l’art contemporain latino-américain à Paris.

Grecia Caceres, directrice du Département Amérique Latine

Ce cycle de conférence propose une promenade a travers différents aspects de l’art de l’Amérique Latine du XXème siècle jusqu’à nos jours. La programmation de « L’œil pense » suit également l’actualité de l’art contemporain latino-américain de la scène parisienne et internationale en organisant des rencontres autour de grandes expositions thématiques ou événements institutionnels comme en 2017 avec l’Année France-Colombie de l'Institut français ou la grande exposition Mexique au Grand Palais. 

Même si aujourd’hui l’IESA arts&culture possède avec un bel auditorium, les conférences de L’œil pense se déroulent pour la troisième année à l’Auditorium de la Maison de l’Amérique Latine car ce lieu est devenu le cadre naturel de ces rencontres et permet à nos étudiants de sortir de l’école. « Il est important que nos élèves soient curieux de tout et se déplacent».

D’une part, « L’œil pense » permet aux artistes d’être mis en relation avec la scène parisienne, d’autre part le département Amérique latine veut promouvoir des échanges avec des institutions, centres culturels, musée et galeries latino-américaines en offrant la possibilité aux étudiants de partir, de se former et de réaliser de nouveaux projets liés à cette partie du monde.

Parmi les invités de cette année on trouve des galeristes, des professeurs universitaires, des responsable de résidences d’artistes, des intervenants spécialisés sur les différents pays d’Amérique latine sans oublier le grands mouvements fondateurs et l’histoire.

Les artistes Latino-Américain se sont toujours sentis très proches de la France. Paris, en ce début de XXIème siècle, redevient une place de choix pour ces artistes.

À ce propos, le département Amérique Latine a organisé en décembre 2017 un projet taille réelle avec des étudiants de 1ère année Mastère Art contemporain, l’exposition « Attaches » sur la jeune scène colombienneà Paris. Cette expo a eu lieu à la galerie de la Cité Internationales des Arts, résidence d’artistes au cœur de la capitale. Attaches a fait partie du programme officiel de l’année croisée France-Colombie organisée par l’Institut Français en 2017.

Avec cette troisième année, « L’œil pense » a su fidéliser son public mais invite tous les étudiants curieux et motivés à venir une fois par mois assister aux rencontres. Il ne faut pas oublier que l’offre culturelle à Paris est très riche et intéressante… Et plus les élèves sont curieux, plus les échanges seront intenses !

Samedi 24 mars - Journée Portes Ouvertes

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Parce que la rentrée prochaine, c’est maintenant que ça se prépare l’IESA arts&culture vous ouvre ses portes de 10h à 17h pour une journée découverte !

Lors de cette journée, vous pourrez découvrir notre campus de l'innovation culturelle avec sa galerie, l’amphithéâtre, l'incubateur et 4 niveaux de salles de cours et d'espaces de travail.

journée portes ouvertes iesa arts&culture

De 10h à 17h, venez découvrir l’école et son dynamisme ! À travers un parcours didactique, nous vous proposons d'échanger avec des professeurs, des étudiants, les équipes de l'IESA arts&culture et de rencontrer les équipes du service pédagogie et admission.

  • 11h & 14h : Conférence de présentation de l'IESA arts&culture par le directeur, Boris Grebille : l'école, ses formations (Bachelor, Mastère, Mastère professionnel, professionnelle), la professionnalisation (stages et compétences professionnelles) et l'international.
  • Exposition Des jardins, art de vivre et savoir-faire

Toute la journée, une salle sera consacrée aux projets de groupe et individuels réalisés par nos étudiants avec des vidéos et les dossiers des projets à consulter. Une autre salle sera consacrée aux stages et aux partenariats en marché de l’artspectacle vivantcinémamédiation et patrimoine, vous pourrez avoir un aperçu des quelques 600 structures qui accueillent régulièrement nos étudiants. Des différents partenariats noués avec de grandes institutions et entreprises. Vous pourrez également voir des vidéos et consulter les rapports de stage de nos étudiants. Les équipes de la professionnalisation, de la pédagogie et les étudiants vous guideront afin de vous permettre de mieux comprendre la réalité professionnelle de notre pédagogie.

Des responsables de stage et de pédagogie, des professeurs, des coachs de projet vous accueilleront avec des étudiants et des anciens de tous les niveaux et de toutes les formations.

Si vous souhaitez candidater dans les formations de BachelorsMastèresMastères professionnels ou MBA, nos responsables des admissions seront là, vous pourrez donc passer un entretien d’admission et le test afin de valider votre candidature.

Nous vous attendons pour vous faire entrer, dès ce samedi, dans la dynamique de l’école !


Etienne Monnier

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Rencontre avec Etienne Monnier, étudiant en deuxième année Bachelor Production et médiation culturellesà l'IESA arts&culture.

Il est affilié à l'équipe marketing et communication du projet annuel des deuxièmes années de Bachelor pour le projet NO FRONTIERS

NO FRONTIERS est un projet solidaire et humain qui soutient l’accueil et l’intégration des réfugiés, le lundi 19 mars sera la journée à suivre !

Etienne Monnier projet no frontiers

Pourquoi avez-vous décidé d'intégrer l'IESA arts&culture ?

Après, avoir arrêté mes études à 16 ans, j'ai eu l'occasion de travailler avec différents professionnels de la musique, du cinéma et du théâtre. Je suis musicien et j'ai toujours été attiré par le domaine artistique. 

Le fait de ne pas avoir de diplôme étant un frein pour moi, par conséquent j'ai décidé de reprendre mes études à 20 ans pour passer un bac littéraire dans un premier temps. Suite à cela et après réflexion, J'ai décidé de m'orienter vers la production culturelle, et l'IESA par sa démarche de proposer une formation professionnalisante en rythme alterné entre cours et stages semblait correspondre à mon profil à l'instar d'un cursus universitaire classique et majoritairement théorique.

Pouvez-vous nous en dire plus sur cet évènement : ambition première, partenariat, implication des étudiants ?

Concernant l'évènement, le choix du sujet revient entièrement à l'ensemble de l'équipe étudiante. Nous avons passé plusieurs séances de travail à définir ce qui nous semblait important à traiter au sein de la culture, les valeurs que nous voulions partager en s'appuyant sur les différents parcours de chacun.

Ce qui, d'une certaine manière ramène à la première question, pourquoi avons-nous intégré l'IESA et pourquoi souhaitons-nous travailler dans la culture aujourd'hui.

La question des réfugiés en France étant sujet à beaucoup de débats, nous avons convenu qu'il fallait sensibiliser les publics autour de cet enjeu humain, par la culture et l'information, qui devraient être accessibles à tous.

L'évènement se décompose en deux parties distinctes, une première partie axée sur le travail et la mobilisation de plusieurs associations aidant les réfugiés à s'intégrer ; puis une seconde partie proposant 4 concerts de jeunes artistes émergents tout aussi sensibles que nous à ces questions.

Lors de la réalisation de ce projet nous nous sommes également entourés de différents partenaires que ce soit acteurs culturels mais aussi presses/médias qui nous ont beaucoup aidé dans le relai des informations et la naissance de cette communauté autour de NO FRONTIERS.

Marie-Anne Alexandre

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Pourquoi avez-vous décidé d'intégrer l'IESA arts&culture ?

C'est la promesse d'une formation professionnalisante qui m'a poussée à choisir cette école. Après trois ans d'histoire de l'artà l'École du Louvre je pouvais continuer en master de recherche mais les métiers de la culture m'intéressent davantage. J'ai appris des choses passionnantes en histoire de l'art et j'ai simplement à cœur de pouvoir participer à des projets qui me permettront de partager mon intérêt pour l'art avec un public diversifié. La possibilité de faire un stage à temps partiel m'a tout de suite propulsée dans le monde concret du travail dans la sphère culturelle et c'est vraiment motivant de suivre des cours qui se concrétisent directement d'une manière ou d'une autre. La participation à l'élaboration d'une exposition est très formatrice. C'est typiquement le genre de projets que j'aimerais accompagner ou réaliser par la suite. C'est ce que je cherchais pour couronner des études très théoriques avec le Mastère Patrimoine et tourisme culturel.

Marie-Anne Alexandre exposition Des jardins

Quel est votre rôle dans l'organisation de l'exposition "Des jardins" ?

Par souci d'organisation et de clarté, nous avons séparé l'exposition "Des jardins : art de vivre et savoir-faire" en plusieurs sections. Je suis responsable de l'une d'entre elles, je dois donc en rédiger la présentation pour le dossier de presse et celle qui sera affichée dans la salle de l'exposition.

J'ai aussi eu la chance de trouver une œuvre qui manquait à notre corpus et d'organiser sa venue jusqu'à Paris puis de rédiger la notice qui figurera dans le catalogue en ligne de l'exposition. Chaque élève doit également rédiger quelques notices d'œuvres et pour se faire, je suis en contact avec les collectionneurs qui nous les prêtent. C'est très riche de pouvoir dialoguer avec l'amateur ou le professionnel qui connait bien ses objets et leur contexte. Nous devons également tous réaliser un portrait de jardin et/ou de jardinier qui sera présenté au cours de cette exposition. J'ai donc choisi de présenter celui du Bois des Moutiers à Varengeville-sur-Mer, un lieu magnifique dans lequel j'avais eu la chance de travailler en tant que guide un été et que je suis ravie de présenter différemment dans le cadre de cette exposition, au côté d'autres jardins exceptionnels.

J'ai également été chargée avec un autre élève de contacter les calendriers culturels en ligne pour leur demander d'afficher notre exposition afin que l'information soit largement diffusée.

Pouvez-vous nous en dire plus sur cet événement (ambition première, partenariat, implication des étudiants...) ?

L'ambition première de cette exposition est celle de Monsieur David Brouzet, notre professeur en charge du projet. Lors de notre première rencontre, il avait déjà une idée bien précise de ce qu'allait être l'exposition et de ce que nous allions y présenter. Son désir est de proposer un horizon rapide des arts du jardin et de ce qu'on y vit (plans de paysagiste, outils de jardinage, portraits en belle jardinière, cabinet d'amateur de jardin, interview de jardiniers contemporains, castelets, etc). Nous avons eu la chance de rencontrer plusieurs collectionneurs qui nous prêtent des œuvres de qualité et soutiennent ce projet.

Le challenge était de pouvoir réaliser ce projet dans un temps spécialement restreint. Chaque élève a à cœur de pouvoir proposer une exposition de qualité, aussi professionnelle que possible. C'est pourquoi nous sommes tous investis et chacun prend son ou ses rôle(s) à coeur : rédaction et mise en page du dossier de presse, recherche de partenaires, diffusion des informations auprès de la presse, rédaction des notices de chaque œuvre, rencontre avec les collectionneurs mais aussi avec les jardiniers qui font l'objet d'une présentation personnelle, réalisation du catalogue en ligne, communication sur les réseaux sociaux (Facebook et Instagram), organisation des événements qui graviteront autour de l'exposition (conférences, lecture de textes, etc), réalisation de l'affiche et des cartons d'invitation, etc.

L'ambition première est grandiose et il a fallu la concrétiser dans le temps, le lieu et avec les moyens que nous avions. Chacun donne de sa personne et nous espérons pouvoir offrir au public une visite intéressante qui nourrisse les curiosités et pousse à l'émerveillement que l'on ressent tous face à la nature.

De nouvelles formations s’ouvrent à l’IESA arts&culture à la rentrée 2018

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Une école doit d’être à l’écoute des besoins du monde professionnel. C’est pour cela que l’IESA arts&culture ouvre quatre nouvelles formations ! 

Pour professionnaliser un métier qui se développe autant en art ancien qu’en art contemporain, un Mastère Commissariat d’exposition. Pour accompagner les entreprises culturelles mais également les agences, un Mastère Stratégie culturelle digitale. Pour répondre au besoin de démocratisation de la culture et d’émancipation des citoyens, un Bachelor professionnel et un Mastère Médiation socioculturelle.

formations art culture bac+5

À la rentée 2018, l’IESA arts&culture ouvre quatre nouvelles formations pourquoi ?

Pour une raison très simple, c’est que le monde évolue et qu’il évolue vite. Si nous voulons offrir à nos étudiants les compétences dont le secteur artistique et culturel a besoin aujourd’hui mais surtout dont il aura besoin demain, nous devons faire évoluer nos formations et en créer de nouvelles. À l’IESA arts&culture, nous avons en effet fait le choix de spécialiser nos étudiants, de leur donner une expertise dans un domaine tout en leur assurant des compétences transversales qui leur permettront de rebondir en fonction de l’évolution de leur carrière professionnelle. Ce choix nous oblige à multiplier les formations en fonction des besoins, particulièrement en Mastère, et c’est pourquoi nous avons décidé d’en ouvrir trois nouveaux à la rentrée.

Comme le Mastère Commissariat d’exposition ?

Oui, c’est un métier qui s’impose dans l’ensemble du secteur artistique, particulièrement dans l’art contemporain mais également en art ancien. Un métier qui paraît évident mais qui finalement demande des compétences très diverses. A part l’école du Magasin à Grenoble, il n’existe pratiquement pas de formation en commissariat d'exposition. Il m’a semblé naturel d’y remédier pour que les jeunes professionnels qui souhaitent pratiquer ce métier soient armés. En effet, monter une exposition ce n’est pas simplement choisir un ou des artistes et accrocher leurs œuvres sur des murs. C’est aussi penser une programmation artistique en fonction d’un lieu, penser une scénographie en fonction des œuvres et d’un discours, inclure dès la conception du projet les parcours et les outils de médiation qui permettront de mieux dialoguer avec le public, savoir travailler avec d’autres corps de métiers et souvent les manager pour obtenir l’exposition souhaitée… Mais aussi savoir concevoir et gérer un budget, contractualiser des prêts d’œuvre, des assurances et des transports, négocier avec des artistes et des professionnels du secteur, comme des musées ou des galeries. Si nous créons ce Mastère Commissariat d'exposition, qui pourra se faire en spécialité art ancien ou art contemporain, c’est pour offrir aux étudiants une formation qui aborde l’ensemble de ces sujets !

Et pour celui en Communication culturelle que vous avez intitulé : Stratégie culturelle digitale ? Est-ce également la réponse à un besoin professionnel ?

À plusieurs, en fait ! En écoutant les besoins du secteur culturel, mais également en travaillant avec les professionnels des secteurs de la communication culturelle et du numérique, nous nous sommes dits qu’il fallait repenser l’enseignement de la communication mais surtout créer une formation où culture et communication seraient vraiment liées. Il ne s’agit pas simplement d’apprendre à communiquer pour les institutions et les entreprises culturelles, pas seulement d’apprendre à utiliser le numérique pour passer d’une communication classique à une communication complexe intégrant l’analyse des datas et la mise en place de stratégies plurimédias appuyée sur les réseaux sociaux. Il s’agit aussi d’intégrer les processus de création et les artistes dans les campagnes de communication, d’utiliser au mieux cette capacité de l’art à questionner notre monde et à faire passer des messages. En ce sens, ce Bac+5 communication culturelle s’adresse tout autant à des étudiants qui souhaitent travailler dans des musées, des théâtres, des industries culturelles, qu’à ceux qui souhaitent rejoindre des agences de communication avec une compétence aujourd’hui extrêmement recherchée. Dans un monde et une communication complexe, la culture est une compétence qui prend toute sa place. C’est le cœur de ce Mastère Stratégie culturelle digitale.

La place de la culture est visiblement une question très importante à l’IESA. Vous militez pour qu’elle sorte des secteurs dans lesquels on l’assigne habituellement. Est-ce pour cela que vous avez créé la filière de formation en médiation socioculturelle ?

Tout est culture, parce que c’est la culture qui nous relie, qui nous constitue en sociétés, particulièrement dans un monde globalisé où les questionnements son nombreux et parfois douloureux. Alors oui, nous militons pour redonner à la culture cette juste place et la faire sortir du « petit monde de l’art ». Pas seulement parce que la culture est un vaste champ économique, mais parce que la culture est un ferment d’unité et de développement sous exploité. Pour cela le monde a besoin de médiateurs qui savent faire du lien grâce aux questionnements portés par les artistes. C’est en effet à cela que se consacre le département de médiation socioculturelle qui développe un Bachelor en trois ans, un Bachelor professionnel en un an et un Mastère en deux ans.

J’ai conscience qu’il y a quelque chose de suranné dans le terme socioculturel. Mais au delà du terme, il y a une réalité et un besoin évident. Toutes les grandes institutions culturelles développent des projets pour aller à la rencontre de nouveaux publics, pour accueillir les publics porteurs de handicaps, pour nourrir des quartiers où la culture n’est pas assez présente. Il ne s’agit pas simplement de faire découvrir des artistes à des publics qui ne les connaissent pas, la question est beaucoup plus importante. Il s’agit de permettre à tout le monde de découvrir la force d’émancipation que permet le questionnement et l’émotion artistique. A travers la démocratisation de l’accès à la culture sous toutes ses formes, de la pratique amateur, des ateliers et résidences d’artistes in situ, à la fréquentation des établissements culturels. 

C’est un besoin pour les institutions culturelles, mais également pour les collectivités territoriales, les associations et les ONG. Il faut des professionnels formés pour définir les politiques et les stratégies de médiation, en intégrant les formidables possibilités offertes par le numérique. Il faut des professionnels pour mettre en place ces actions de médiation et les faire vivre. C’est un vrai chantier d’avenir qui demande des personnes bien formées et généreuses !

Cela fait beaucoup de nouveautés pour 2018 !

La force de l’IESA, c’est sa dynamique. Tous ces projets y participent. Je crois que nous demandons beaucoup à nos étudiants : d’être curieux, réactifs, inventifs, d’apprendre, de comprendre, de réaliser des projets… Nous avons une obligation d’exemplarité comme institution mais surtout comme formateur ! Nous essayons d’y faire face au mieux.

Rencontre avec la Génération Y

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Rencontre avec les élèves de 2ème année de Bachelor Arts visuels et exposition.

Huit jeunes femmes sont à l’origine de ce projet et ont créé un véritable esprit de groupe autour de l’exposition « Génération Y » présentée à la galerie de l’IESA arts&culture jusqu'au 26 avril 2018.

Elles reviennent sur cet évènement, jugé fondamental pour elles dans leur parcours d’étudiantes et pour leur avenir professionnel.

exposition génération y bachelor arts visuels exposition

Comment est né ce projet d’exposition ?

Nous sommes huit étudiantes en Bachelor Arts visuels et exposition à avoir organisé ce projet. Notre projet de fin d’année est de concevoir une exposition de A à Z, c’est donc de cette manière que nous avons conçus et construit l’exposition « Génération Y ». Notre formation à l’IESA arts&culture nous permet une approche concrète de nos futurs métiers et une pratique qui nous confronte à une réalisation sur le terrain, contrairement aux cursus plus théoriques de la fac par lesquels nous sommes toutes passées en amont.

Ce projet a mis du temps à aboutir car nous avions plusieurs idées. Toutes dotées de caractères très forts et de personnalités propres, nous avons eu du mal à nous accorder au départ. Finalement nous avons fait le choix de créer quelque chose qui nous ressemble et nous rassemble c’est-à-dire, évoquer notre génération dénommée « Génération Y ». Ce terme même fait débat mais il n’en est pas moins percutant et intriguant. C’est une appellation qui, de manière générale, ne met pas tout le monde d’accord, mais c’est également cela qui nous a intéressé car nous voulions justement que notre thématique pose question, pousse à la réflexion. C’est d’ailleurs cette difficulté de définition qui nous a stimulé pour aborder ce thème à travers le prisme de l’art.

Ce qui nous semble certain, c’est que notre génération est particulière, c’est une génération accélérée, hyper créative et hyper réactive dans tous les domaines et c’est cela que nous souhaitions mettre en avant.

Qu’est-ce qui caractérise aujourd’hui notre génération « Y » ? Pourquoi parle-t-on de génération Y ?

A travers les communautés tel Instagram ou encore Facebook, notre génération semble avoir besoin de se rassembler, de se retrouver et de communiquer sans aucune limite de frontière. C’est pour cette raison que nous avons choisi quatre photographes internationaux :

  • Bahar Kaygusuz – vit et travaille à Berlin,
  • Poppy Thorpe – vit et travaille à Londres,
  • Victor Maître – vit et travaille à Bruxelles,
  • Mathias Ponard – vit et travaille à Paris.

Les artistes choisis sont à la fois des personnes que nous connaissions mais aussi des découvertes récentes faites par rapport à la thématique. Elles et ils, puisqu’il s’agit de deux femmes et de deux hommes, un choix paritaire à l’image de notre génération avaient toutes et tous photographié la jeunesse, en tant que jeunes issus eux même de la génération Y. Nous leur avons donc demandé de continuer à réfléchir sur ce thème. Leur travail se ressemble, car ils appartiennent à la même génération, mais il diffère de par la personnalité et le travail de chaque photographe et de leurs modèles. Nous souhaitons présenter avec cette exposition, l’affirmation de différents regards au sein d’une même unité, la génération Y.

Pour le vernissage qui a eu lieu le vendredi 6 avril 2018, nous avons eu le plaisir d’accueillir deux artistes supplémentaires. Un artiste franco-congolais, Prince Roger Nienguet qui a proposé une performance sur le thème de l’exposition. Il questionne les catégories et les genres, “ce qui est ou non à sa place”, nous invitant à faire le lien entre une idée, une forme et une situation.

Nous avons eu également l’honneur de projeter le film-documentaire d’une artiste russe, Olga Darfy « Moi, Gagarine » qui raconte sa propre expérience, celle d’avoir 20 ans au moment de l’effondrement de l’Union Soviétique. Elle évoque une jeunesse emplie d’émotions intenses et d’excitation extrême, au rythme des DJ dans les rave-party.

Philippe Vadée

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Que s’est-il passé après l’IESA arts&culture, pouvez-vous nous faire part de votre parcours ?

Après le cursus suivit à l’IESA et la fin du stage pratique, j’ai crée la Société (SASU) "Au Phil du Temps" en fin d’année 2017. En phase avec le Projet Grandeur Réelle construit pendant ma formation.

Est-ce un projet que vous aviez en tête avant d’intégrer votre formation ?

Oui, je savais que ma fin de carrière allait me demander une reconversion professionnelle et j’ai fait ce choix en amont.

Pouvez-vous nous décrire en quoi consiste votre activité ? Est-ce un secteur porteur ?

Une activité de marchand : objets anciens, de collection, de décoration, vintage, …

Une répartition des ventes entre déballages et boutique online : http://stores.ebay.fr/auphildutemps

Comme dans beaucoup d’autres, rien n’est facile dans ce secteur… 

Quelques pistes que je suis : 

  • bien acheter
  • acheter les produits que l’on aime (on est meilleur vendeur)
  • vendre le bon produit au bon endroit
  • se spécialiser, devenir expert
  • être fiable, fidéliser sa clientèle

Pouvez-vous nous décrire l’acquisition d’une pièce que vous avez été heureux de pouvoir proposer à la vente ?

Un vase calice sur piédouche Daum Nancy 1900, acheté au Crédit Municipal, une belle pièce qui est partie en Angleterre et bien vendue avec un coefficient de 2 (vendu le double du prix d’achat).

Comment voyez le développement de votre activité dans les prochains mois, années ?

Pour cette année 2018, année de démarrage, le but est de couvrir les charges engagées et si possible de dégager un petit bénéfice. Peut-être ensuite de monter en gamme afin d’augmenter la marge par objet et donc le résultat global de l’entreprise. Ce sera pour moi à terme une activité complémentaire à ma retraite.

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